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•En avant toute avec les STIM!
- La First Nations STEM Futures Academy (programme d’études des STIM pour les Premières Nations) de la Queen’s University encourage les jeunes Autochtones à explorer les sciences, la technologie, l’ingénierie et les mathématiques grâce à des expériences pratiques et à du mentorat.
- Soutenu par L’Impériale, ce programme élimine les obstacles à la participation et encourage l’engagement tout au long de l’année, aidant ainsi les élèves à rester connectés et à réussir dans leur formation STIM.
- En encourageant l’esprit communautaire et la représentation, il incite les élèves autochtones à s’imaginer comme de futurs scientifiques, ingénieurs et innovateurs.
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•Un groupe d’élèves autochtones du secondaire de premier cycle a passé une semaine à la Queen’s University, où ils ont découvert des laboratoires, des lacs et la possibilité d’un avenir dans les domaines des sciences et de l’ingénierie. Un avenir qu’ils n’avaient jamais imaginé auparavant.
Alors que L’Impériale célèbre la Journée nationale des STIM en novembre, un partenariat se distingue par son incidence sur la nouvelle génération d’innovateurs autochtones.
La First Nations STEM Futures Academy (programme d’études des STIM pour les Premières Nations) de la Queen’s University, à Kingston, en Ontario, aide les jeunes Autochtones à découvrir leur potentiel dans les domaines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques, avec le soutien de L’Impériale, qui défend depuis longtemps l’enseignement des STIM auprès des étudiants autochtones.
Ce programme a été créé pour combler un déficit éducatif de longue date chez les élèves des Premières Nations. « Nous avons rencontré des élèves brillants et curieux en 7e et 8e année qui adorent les sciences », explique Melanie Howard, directrice du projet Indigenous Futures in Engineering (l’avenir des Autochtones dans le domaine de l’ingénierie) à Queen’s. « Mais nous perdions souvent contact avec eux lorsqu’ils devaient quitter leur collectivité pour aller au secondaire. Le programme permet de maintenir ce lien et leur montre la voie vers un avenir dans les STIM. »
Ce printemps, 30 étudiants de Six Nations of the Grand River et d’Akwesasne ont participé à la première session sur le campus de Queen’s. Ils ont exploré la chimie de l’eau, les simulations hospitalières et les projets de robotique, et ont rencontré des étudiants autochtones de niveau postsecondaire dans ces disciplines. « La plupart d’entre eux rencontraient pour la première fois des Autochtones travaillant dans le domaine de l’ingénierie ou des sciences », explique Kayla Ford, responsable du programme. « Cette représentation fait une énorme différence : elle les aide à s’imaginer là-bas. »
Au-delà de l’expérience estivale, le programme propose toute l’année des salles d’étude virtuelles, des ateliers, du tutorat et du mentorat. Les parents sont également impliqués à défendre la formation de leurs enfants lorsqu’ils intègrent des établissements scolaires plus importants. « Notre objectif n’est pas seulement d’inspirer », explique Kayla. « Il s’agit de les aider à obtenir leur diplôme, à rester dans les STIM et à poursuivre des études postsecondaires. »
Avec un taux de diplômés autochtones du secondaire inférieur d’environ 20 % à la moyenne nationale, des programmes comme celui-ci sont essentiels pour aider les élèves à rester motivés et à réussir. En adoptant une vision large des STIM et des applications axées sur la collectivité, le programme ouvre la voie à des parcours professionnels enrichissants et pertinents, allant de l’IA pour la revitalisation linguistique aux drones pour la surveillance des terres et aux outils de télésanté.
Mais il ne s’agit pas seulement d’études, il s’agit aussi de créer des liens. Ce programme est un élément essentiel de la réussite scolaire, mais il favorise également le développement de l’identité et du sentiment d’appartenance, qui sont tout aussi importants. Melanie appelle affectueusement ces étudiants sa « Indiginerd community. ». Comme elle le définit : un réseau croissant d’étudiants des Premières Nations, Inuits et Métis unis par leur amour des sciences et de la technologie. « Il est très important d’avoir une communauté de personnes qui partagent les mêmes idées, qui comprennent d’où elles viennent et où elles vont », dit-elle.
Le soutien de L’Impériale garantit la gratuité de la participation en prenant en charge les frais de déplacement, de repas et d’hébergement, ce qui élimine les obstacles pour de nombreuses collectivités. « Nous n’aurions pas pu y arriver sans nos partenaires », déclare Melanie. « Le soutien de L’Impériale nous permet d’atteindre davantage de collectivités et d’accueillir des étudiants venant de partout au Canada. »
Alors que nous célébrons la Journée nationale des STIM le 8 novembre, L’Impériale est fière d’aider les jeunes Autochtones à se voir comme les scientifiques, les ingénieurs et les innovateurs de demain.
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