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•Relier la science conventionnelle et le savoir traditionnel autochtone
Ce que les aînés de Fort Good Hope nous enseignent sur la santé des poissons.
- Les aînés, les jeunes et les biologistes ont collaboré à Fort Good Hope pour étudier la santé des poissons dans le cadre du Aquatic Effects Monitoring Plan (plan de surveillance des répercussions sur le milieu aquatique) de L’Impériale.
- Le programme a combiné l’échantillonnage scientifique et le savoir traditionnel, renforçant ainsi les relations et améliorant les méthodes de recherche.
- Les aînés ont partagé leurs connaissances sur la santé des poissons et de l’eau, influençant des pratiques comme l’utilisation de filets en fibres naturelles pour un échantillonnage durable.
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•Cet automne, à Fort Good Hope, dans les Territoires du Nord-Ouest, des aînés autochtones, des jeunes et des biologistes se sont réunis autour d’un objectif commun : apprendre les uns des autres et étudier la santé des poissons dans le cadre du Aquatic Effects Monitoring Plan (AEMP) (plan de surveillance des répercussions sur le milieu aquatique) de L’Impériale.
Le plan se concentre sur deux questions simples, mais importantes : Les poissons peuvent-ils être consommés sans danger? L’eau est-elle propre? Mais il s’agit aussi du lien entre les individus, le savoir et la terre.
« En 2023, le groupe d’étude a décidé d’appeler cette initiative Tu Luge, en s’inspirant des mots dénés associés à l’eau et au poisson », explique Lisa Duncan, conseillère en relations communautaires. « Le nom reflète l’accent mis par le projet sur la qualité de l’eau et la santé des poissons, ainsi que leur rôle essentiel dans le bien-être de la collectivité. »
Et pour les aînés, chaque poisson raconte une histoire. Des yeux clairs, des branchies brillantes et des écailles luisantes sont les signes d’une prise en bonne santé. Ils fournissent des indices sur l’eau, la saison et le mode de vie des poissons. Ce savoir s’acquiert au fil des années passées sur terre et sur mer, à observer et à apprendre.
Cet automne, des biologistes ont montré comment prélever des échantillons à des fins d’analyse, tandis que les aînés ont montré comment traiter le poisson avec habileté. Ce qui avait commencé comme un travail sur le terrain s’est rapidement transformé en rires, en récits et même en une compétition amicale de filetage (alerte au divulgâcheur : les scientifiques n’ont pas gagné, mais ils ont promis de réessayer l’année prochaine).
« Lorsque vous travaillez aux côtés des aînés, vous vous rendez immédiatement compte à quel point leur compréhension est profonde », explique Lisa.
Plus tard, lorsque la discussion a porté sur la collecte de données, les aînés ont suggéré d’utiliser des filets en fibres naturelles qui aident les poissons à survivre plus longtemps avant l’échantillonnage, une approche traditionnelle qui améliore le travail scientifique.
« Ce processus contribue à transformer le savoir autochtone en données mesurables », explique Lisa. « Cela renforce le programme et consolide encore davantage les relations. »
L’AEMP poursuivra ses activités dans les années à venir, alors que nous cherchons à approfondir notre compréhension des écosystèmes locaux et du savoir traditionnel.
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